Dans ses mémoires « La vie de Puyi, dernier empereur de Chine », l’empereur détrôné, Pu Yi, a écrit : pour se procurer de l’argent, l’intendance de la Cour a donné des objets en gage. Elle choisissait souvent des objets de moindre valeur, tels que ceux en or et en agate que la Cour appelait « les objets de rebut ». La vente de ces « objets de rebut » a causé un scandale annoncé dans le « Journal de Beijing » en mai 1924.
Le dernier empereur et les trésors d’Etat - Partie III: La recherche des trésors d’Etat
Avant l’arrivée du moment excitant, Puyi a été arrêté dans la salle Yangxin par Daifeng, son père et régent. Le plan de départ pour l’étranger pour étudier avait ainsi échoué. Enfermé à la Cour profonde, il ne pourrait pas admirer les paysages de l’Occident.
Le dernier empereur et les trésors d’Etat - Partie II: La fuite des trésors d’Etat
Avant l’arrivée du moment excitant, Puyi a été arrêté dans la salle Yangxin par Daifeng, son père et régent. Le plan de départ pour l’étranger pour étudier avait ainsi échoué. Enfermé à la Cour profonde, il ne pourrait pas admirer les paysages de l’Occident.
Le dernier empereur et les trésors d’Etat - Partie I : le dernier vol
En février 1912, L’impératrice douairière Longyu a amené Puyi dans le Palais de la Pureté céleste où elle a proclamé l’abdication et a signé, avec le gouvernement révolutionnaire provisoire, les « Règles sur les traitements préférentiels envers la Cour des Qing ».
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