Quelque 50 mille personnes sont toujours bloquées à Alep-Est bien que les opérations d'évacuation aient commencé. L'envoyé spécial des Nations unies en Syrie, Staffan de Mistura, affirme que la plupart sont des civils.
50 mille personnes sont toujours coincées à Alep-Est
De Mistura prévient aussi que s'il n'y a pas d'un accord politique au cessez-le-feu, la ville d'Idlib où doivent se rendre les rescapés, risque de devenir un nouvel Alep. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, a aussi répété que son pays insiste pour un déploiement rapide des observateurs et du personnel des Nations unies. Une réunion du Conseil de sécurité demandée par la France, devrait avoir lieu vendredi. Il y sera spécifiquement question du déploiement des observateurs pour éviter qu'il n'y ait des abus ou des actes de revanche, et aussi pour s'assurer de la protection de la population civile.
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Fortune créative 03/28/2016
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